Le son des rêves

Projet de création 2024

Concert théâtral immersif tout public

petite forme 30 mn à partir de 4 ans

grande forme 45 mn à partir de 6 ans

Musique actuelle, improvisée, chant, écritures théâtrales jeunesse

« Moi, les rêves je voudrais en faire mon métier » Fabrice Melquiot

Quelle est la musique de nos rêves ? Et qui en sont les protagonistes ? Tel est le fil conducteur de ce concert théâtralisé qui mêle musiques (reprises et originales, écrites et improvisées) avec des textes du répertoire théâtral contemporain jeunesse.

Un voyage poétique, musical et immersif. Dans une ambiance nocturne, les spectateurs sont invités à prendre place autour d’un arbre. Trois personnages, habitants de cette forêt des rêves entrent en scène.

Un dispositif scénique adapté pour des petites jauges. Des sessions de 45 min, avec la possibilité d’en enchaîner plusieurs. Le jeune spectateur est invité à voyager de rêves en rêves, le rêve comme activité onirique, psyché du sommeil, vagabondage de l‘imagination ou alors comme la représentation, idéalisée ou bien chimérique de nos désirs.

Musicalement, nous sommes ici à la frontière du jazz, du classique ou du rock progressif. Une musique en contraste et nuance, une palette sonore étendue au service d’une certaine idée de narration abstraite, d’expressivité sereine et immersive, un écrin sonore au service des mots.

Des mots parlés, chuchotés ou chantés comme porte d’entrée à l’écoute des musiques : compositions de Nicolas Naudet et David Potaux-Razel ou réinterprétations de « standards » ( Eric Satie Gnossiènne 1, CoDoNa Hey da ba doom, Dave Holland Conférence of the birds, J S Bach prélude 2 du Clavier bien tempéré, … ), laissant la part belle à l’improvisation. Une approche sensorielle des sons, à l’instrumentation singulière : Clarinettes, guitares, chant, pédaliers d’effets et percussions.

Les jeunes spectateurs sont placés, avec les musiciens au coeur du dispositif sonore, afin de favoriser une réelle proximité et de laisser opérer la magie inhérente à la découverte des instruments, l’immersion auditive et spatiale est accentuée par un système quadriphonique.

© Crédit Photo/ Gabriel Condamine